Le syndrome du pied diabétique est aujourd’hui considérée un désordre invalidante, et représente le symptôme plus évident d’une maladie dysmétabolique répandue, qui impliques non seulement les nerves mais aussi les artères et le viens dans les membres inférieurs.
A la base des symptômes du pied diabétique et des altérations tissulaires (douleur, picotements, démangeaisons, perte de sensibilité nerveuse et ulcérations cutanées) on observe une altération chronique des cellules neuro-immunes physiologiquement localisées dans les tissus du pied. En particulier le mastocytes (cellule immune), localisée dans les tissus dermo-épidermiques du pied, est impliqué dans les réactions inflammatoires, induites par un large éventail de maladies (arthrose, arthrite, diabètes, neuropathies, lésions cutanées, etc.), qui favorisent l’apparition de ces symptômes et altérations tissulaires qui sont typiques en cas de pied diabétique.
L’approfondissement de la connaissance scientifique a souligné de plus en plus ce qui est important de connaître le mécanisme du régulation mastocitaire dans la gestion des symptômes du pied diabétique.
Le traitement du pied diabétique avec molécules de nouvelle génération, dans le quelle on trouve l’Adelmidrol (un modulateur mastocitarie), permet l’amélioration des symptômes (douleur, picotements, perte de sensitivité nerveuse) et des altérations de la peu (ulcères) en exploitant les mécanismes naturelles de contrôle de la douleur (et toutes les souffrances nerveuses) et la réparation des tissus dermo-épidermiques.
