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Contrôler «selon la nature» la douleur musculaire tardive de l’Athlète
04 Dec 2019
Contrôler «selon la nature» la douleur musculaire tardive de l’Athlète

L’exercice physique dans la pratique du sport de compétition et non, provoque une douleur musculaire tardive, définie  DOMS (Delayed Onset Muscle Soreness).

L’intensité de la douleur va d’une simple gêne musculaire à un important endolorissement capable de limiter les performances. La douleur arrive 8–24 heures après l’exercice, le pic 48–96 heures plus tard. La normalisation des valeurs s’obtient à titre indicatif vers le  7–10° jour.

Les mécanismes biologiques qui déclenchent les DOMS sont connus et ils consistent principalement en :

1) lésion du sarcomère musculaire avec relâchement tissulaire de médiateurs pro-inflammatoires ;

2) activation de cellules immunitaires spécifiques (Mastocytes), responsables du déclenchement des mécanismes de la douleur et de l’œdème inflammatoire (moyennant le relâchement de NGF et Histamine) et des processus de protection tissulaire (moyennant le relâchement de facteurs de croissance).

Dans ce cas le processus inflammatoire est d’importance fondamentale pour activer les processus de protection musculaire, et c’est pourquoi il ne doit pas être bloqué avec des anti-inflammatoires spécifiques.

Dans ce cas on peut utiliser par voie topique des substances actives en mesure d’exercer leur action selon des mécanismes complètement naturels ; parmi ces molécules il y a l’Adelmidrol (ALIAmide), une substance qui favorise les processus naturels de récupération neuromusculaire, en réduisant en même temps la douleur et l’œdème inflammatoire.

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